Steampunk horloge vieux style d'engrenage victorie

Steampunk est un genre qui a vu le jour dans les années 1980 et au début des années 1990 et qui intègre des éléments de science-fiction, d'imaginaire, d'histoire alternative, d'horreur et de fiction spéculative. Il s'agit d'un cadre où la puissance de vapeur est largement utilisée, que ce soit dans une histoire alternative comme la Grande-Bretagne de l'ère victorienne ou les États-Unis de l'ère "sauvage", ou dans une période post-apocalyptique, qui intègre des éléments de science-fiction ou d'imaginaire. Les oeuvres de steampunk présentent souvent une technologie anachronique, ou des innovations futuristes comme les Victoriens l'auraient imaginé, sur la base d'une perspective victorienne sur la mode, la culture, le style architectural et l'art. Cette technologie comprend des machines fictives comme celles que l'on retrouve dans les oeuvres de H. G. Wells et Jules Verne, ou les auteurs contemporains Philip Pullman, Scott Westerfeld et China Mieville. D'autres exemples de steampunk contiennent d'autres présentations historiques de technologies telles que des avions plus légers que l'air, des ordinateurs analogiques ou des ordinateurs mécaniques numériques tels que Charles Babbage et Ada Lovelace's Analytical Engine. Steampunk fait également référence à l'art, à la mode et au design qui sont inspirés par l'esthétique de la littérature steampunk[1]. Divers objets utilitaires modernes ont été modélisés par des artisans individuels dans un style "steampunk" mécanique pseudo-victorien, et un certain nombre d'artistes visuels et musicaux ont été décrits comme steampunk. Histoire Steampunk est influencé par les romances scientifiques du 19e siècle de Jules Verne, H.G. Wells et Mary Shelley, et adopte souvent le style de celles-ci[2]. précurseurs du XXe siècle Plusieurs oeuvres d'art et de fiction importantes pour le développement du genre ont été produites avant que le genre n'ait un nom. Titus Alone (1959), de Mervyn Peake, anticipait de nombreux trophées de steampunk[3]. Les peintures de Remedios Varo combinent des éléments de robe victorienne, d'imaginaire et d'imagerie technofantastique[4]. L'une des premières manifestations classiques de l'ethos steampunk fut la série télévisée originale de CBS The Wild Wild West (1965-1969), qui inspira le film Wild Wild West (1999)[2][5] Le film Brazil (1985) fut une importante influence cinématographique sur la création du genre[6][7]. Origine du terme Bien que de nombreuses oeuvres désormais considérées comme essentielles au genre aient été publiées dans les années 1960 et 1970, le terme steampunk est né à la fin des années 1980 comme une variante ironique du cyberpunk. Il semble avoir été inventé par l'auteur de science-fiction K. W. Jeter, qui tentait de trouver un terme général pour les oeuvres de Tim Powers (The Anubis Gates, 1983); James Blaylock (Homunculus, 1986); et lui-même (Morlock Night, 1979, et Infernal Devices, 198777). Tout cela s'est déroulé dans un cadre du 19ème siècle (généralement victorien) et a imité des conventions de fiction spéculative victorienne telle que H. G. Wells' The Time Machine. Dans une lettre au magazine de science-fiction Locus, imprimée dans le numéro d'avril 1987, Jeter a écrit : Cher Locus, Enfermé est une copie de mon roman de 1979 Morlock Night ; j'apprécierais que vous soyez si bon que de l'orienter Faren Miller, car c'est une preuve de premier ordre dans le grand débat sur qui dans "les Puissances/Blaylock/Jeter imaginaire triumvirate" écrivait d'abord de la "manière gonzo-historique". Bien sûr, j'ai trouvé sa critique dans la Locus de mars très flatteuse. Personnellement, je pense que les imaginaires victoriens vont être la prochaine grande chose, tant que nous pourrons trouver un terme collectif approprié pour Powers, Blaylock et moi-même. Quelque chose basé sur la technologie appropriée de l'époque ; comme des "vaporisateurs", peut-être. —K.W. Jeter[8] Steampunk moderne Tandis que la Nuit Morlock de Jeter et les Dispositifs Infernaux, les Anubis Gates de Power et la Machine de Lord Kelvin de Blaylock étaient les premiers romans auxquels le néologisme de Jeter serait appliqué, ils ont donné le terme peu de réflexion à l'époque.[9] Cependant, ils étaient loin d'être les premiers écrivains de science-fiction modernes à spéculer sur le développement d'une technologie à vapeur ou d'autres histoires. Keith Laumer's Worlds of the Imperium (1962) et Ronald W. Clark's Queen Victoria's Bomb (1967) appliquent la spéculation moderne à la technologie et à la société du passé[10]. Le Warlord of the Air de Michael Moorcock (1971)[11] en est un autre exemple. Le roman de Harry Harrison Un tunnel transatlantique, Hurrah ! (1973) dépeint l'Empire britannique d'une année alternative 1973, pleine de locomotives atomiques, de bateaux à moteur au charbon, de sous-marins ornés et de dialogue victorien. En février 1980, Richard A. Lupoff et Steve Stiles publièrent le premier "chapitre" de leur bande dessinée en 10 parties, The Adventures of Professor Thintwhistle and His Incredible Ather Flyer[12]. La première utilisation du mot dans un titre a été dans la trilogie Steampunk 1995 de Paul Di Filippo[13], composée de trois romans courts : "Victoria", "Hottentots" et "Walt" et "Emily", qui, respectivement, imaginent le remplacement de la reine Victoria par un clone humain/néonatale, une invasion du Massachusetts par Lovecraft des monstres, et une histoire d'amour entre Walt Whitman et Emily Dickinson. Médias Littéraire Le livre éducatif de 1981, Elémentaire BASIC - Learning to Program Your Computer in BASIC avec Sherlock Holmes de Henry Singer et Andrew Ledgar a peut-être été le premier travail fictif à dépeindre l'utilisation du moteur analytique de Charles Babbage dans une histoire d'aventure. Le livre pédagogique, destiné aux jeunes étudiants en programmation, décrit Holmes en utilisant le moteur comme une aide dans ses enquêtes, et offre des listes de programmes pour effectuer des tâches simples de traitement de données nécessaires pour résoudre les coques fictifs. Le livre décrit même une amélioration possible à la machine de Babbage ; un appareil qui permet au moteur d'être utilisé à distance, à travers des lignes télégraphiques. Des volumes complémentaires, Elémentaire Pascal - Apprendre à programmer votre ordinateur à Pascal avec Sherlock Holmes et De Baker Street à Binary - Une introduction aux ordinateurs et à la programmation informatique avec Sherlock Holmes, ont également été écrits. 1988 voit la publication de la première version du jeu de rôles de science-fiction Space : 1889, mis dans une autre histoire dans laquelle certaines théories scientifiques victoriennes discréditées étaient probables, conduisant ainsi à de nouvelles technologies. Parmi les auteurs qui ont contribué, mentionnons Frank Chadwick, Loren Wiseman et Marcus Rowland[14]. Le roman de 1990 de William Gibson et Bruce Sterling, The Difference Engine, est souvent attribué à une prise de conscience généralisée du steampunk[5][15]. Ce roman applique les principes des écrits cyberpunk de Gibson et Sterling à une ère victorienne alternative où Ada Lovelace et Charles Babbage proposaient un ordinateur mécanique à vapeur, que Babbage appelait un moteur à différence (a plus tard) une version plus générale était connue sous le nom de moteur analytique), a été effectivement construit, et a conduit à l'aube de l'ère de l'information plus d'un siècle "en avance sur le calendrier". Ce paramètre était différent de la plupart des réglages steampunk en ce qu'il prend une vue sombre et sombre de ce futur plutôt que les versions utopiques les plus répandues. L'anthologie originale 2008 de Nick Gevers, Extraordinaire Engines, présente des histoires de steampunk plus récentes de certains des écrivains du genre, ainsi que d'autres auteurs de science-fiction et d'imaginaires expérimentés avec des conventions néo-victoriennes. Une anthologie rétrospective de la fiction steampunk a été publiée, également en 2008, par Tachyon Publications; édité par Ann et Jeff VanderMeer et correctement intitulé Steampunk, c'est une collection d'histoires de James Blaylock, dont la trilogie "Narbondo" est généralement considérée steampunk; Jay Lake, auteur du roman Mainspring, parfois étiqueté "Lockpunk";[16] le Michael Moorcock mentionné ci-dessus; ainsi que Jess Nevins, connu pour ses annotations à la Ligue des hommes extraordinaires. Alors que la plupart des oeuvres originales de steampunk avaient un cadre historique,[citation nécessaire] des oeuvres ultérieures placent souvent des éléments de steampunk dans un monde d'imaginaire avec peu de relation avec une époque historique spécifique. Le steampunk historique a tendance à être de la science-fiction qui présente une histoire alternative; il contient également de vrais lieux et des personnes de l'histoire avec des technologies imaginaires alternatives. "steampunk Imaginaire-monde", comme la station de rue Perdido de China Miéville, la nuit Scar d'Alan Campbell, et les romans Jackélien de Stephen Hunt, d'autre part, présentent steampunk dans un royaume d'imaginaire complètement imaginaire, souvent peuplé de créatures légendaires coexistant avec l'ère vapeur et d'autres technologies anachroniques. Cependant, les oeuvres de China Miéville et d'auteurs similaires sont parfois appelées "New Weird" plutôt que steampunk. L'auteur autodécrit de "fiction tirée par les cheveux" Robert Rankin a de plus en plus intégré des éléments de steampunk dans des mondes narratifs, à la fois victoriens et contemporains ré-imaginés. En 2009, il est devenu membre de la Victorian Steampunk Society[17]. Victorien En général, la catégorie comprend toute science-fiction récente qui se déroule dans une période historique reconnaissable (parfois une version alternative d'une période historique réelle) dans laquelle la révolution industrielle a déjà commencé, mais l'électricité n'est pas encore répandue.[citation nécessaire] Elle met l'accent sur les gadgets à vapeur ou à ressort. Les décors les plus courants de steampunk historiques sont les époques victorienne et édouardienne, même si certains dans cette catégorie "steampunk victorien" peuvent aller dès le début de la Révolution industrielle. Parmi les exemples de ce type figurent le roman The Difference Engine,[18] la série de bandes dessinées League of Extraordinaire Gentlemen, le film d'animation Atlantis : The Lost Empire,[2] la série Anime Fullmetal Alchemist et le jeu de rôles Space : 1889.[2] Certains, comme la série de bandes dessinées Girl Genius,[2] ont leurs propres temps et lieux uniques malgré leur participation massive à la saveur des temps et des décors historiques. Le film de Karel Zeman The Fabulous World of Jules Verne (1958) est un très ancien exemple de steampunk cinématographique. Basé sur les romans de Jules Verne, le film de Zeman imagine un passé basé sur ces romans qui n'ont jamais existé.[19] Parmi les premiers exemples de steampunk au cinéma, on trouve des films d'anime de Hayao Miyazaki tels que Laputa : Castle in the Sky (1986), contenant de nombreux anachronismes archétypiques caractéristiques du genre steampunk[20][21]. Le steampunk "historique" penche généralement plus vers la science-fiction que vers le imaginaire, mais un nombre historique les histoires de steampunk ont aussi incorporé des éléments magiques. Par exemple, Morlock Night, écrit par K. W. Jeter, tourne autour d'une tentative du magicien Merlin d'élever le roi Arthur pour sauver la Grande-Bretagne en 1892 d'une invasion de Morlocks de l'avenir[5]. L'Anubis Gates by Tim Powers comprend une cabale de magiciens parmi les mendiants et les voleurs du monde souterrain londonien du début du 19ème siècle. Le Boilerplate de Paul Guinan, une "biographie" d'un robot à la fin du 19ème siècle, a commencé comme un site web qui a attiré la presse internationale quand les gens ont commencé à croire que les images Photoshop du robot avec des personnages historiques étaient réelles.[22] Le site a été adapté en un livre illustré Boilerplate : History’s Mechanical Marvel, publié par Abrams en octobre 2009[23]. Comme l'histoire n'était pas une histoire alternative et qu'elle contenait en fait des informations précises sur l'ère victorienne[24], certains libraires [précisent] ont appelé le tome "steampunk historique". American West Un autre cadre est le steampunk "occidental", qui chevauche à la fois les sous-genres occidentaux de Weird West et de Science fiction. Plusieurs autres catégories ont vu le jour, partageant des noms similaires, dont dieselpunk, clockpunk, et d'autres. La plupart de ces termes ont été inventés comme compléments au jeu de rôle du GURPS et ne sont pas utilisés dans d'autres contextes[25]. Les films et la littérature de ce genre incluent High Moon, Far West, Jonah Hex, et le film Wild, Wild West de Will Smith. Monde alternatif Depuis les années 1990, l'application du étiquette steampunk s'est étendue au-delà des oeuvres établies dans des périodes historiques reconnaissables, aux oeuvres installées dans des mondes imaginaires qui dépendent fortement de la technologie à vapeur ou à ressort. Les réglages de steampunk Imaginaire abondent dans les jeux de rôle de table et d'ordinateur. Parmi les exemples notables, mentionnons Myst, Skies d'Arcadie, Imaginaire final VI, Imaginaire final VII, Imaginaire final IX,[26] Rise of Nations : Rise of Legends,[27] et Arcanum : Of Steamworks and Magick Obscura[2]. Les gnomes et les goblins de World of Warcraft ont également des sociétés technologiques qui pourraient être décrites comme steampunk[28] car ils sont largement en avance sur les technologies des hommes, mais ne sont pas magiques comme ceux des elfes. De même, dans la série de jeux de rôle The Elder Scrolls a race of Dwarves, le "Dwemer", sont montrés utiliser la technologie qui est fortement influencé par le steampunk, avec des cogs géants et des pièces mobiles visibles, ainsi que la puissance de vapeur, par opposition aux technologies plus médiévales de l'espèce des hommes, et la société magique des races Elven. Dungeons et Dragons ont introduit des éléments steampunk avec le réglage Eberron, y compris les automates appelés contreforgés et l'utilisation de la magie "technologique" par des éléments tels que le rail de foudre et les navires de l'air. Au milieu des sous-genres historiques et imaginaires du steampunk est un type qui se déroule dans un avenir hypothétique ou un imaginaire équivalent de notre avenir, impliquant la domination de la technologie et de l'esthétique de style steampunk. Par exemple, Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro's The City of Lost Children (1995), Steamboy (2004), Turn A Gundam (1999-2000), Trigun et Hayao Miyazaki's post-apocalyptic anime Future Boy Conan (1978) ),[29] et s film Treasure Planet (2002). En 2011, le musicien Thomas Dolby a annoncé son retour en musique après 20 ans d'interruption avec un monde d'imaginaires alternatifs à la vapeur en ligne appelé la Cité flottante, pour promouvoir son album, A Map of the Floating City[2] Imaginaire et horreur Kaja Foglio a introduit le terme "Gaslight Romance",[30] imaginaire à la lampe à gaz, que John Cloud et John Grant définissent comme des "histoires de steampunk ... le plus souvent dans un Londres romantique, fumé, 19ème siècle, comme le sont Gaslight Romances. Mais cette dernière catégorie se concentre nostalgiquement sur les icônes de la fin du siècle et des premières années du 20e siècle - sur Dracula, Jekyll et Hyde, Jack the Ripper, Sherlock Holmes et même Tarzan - et peut normalement être comprise comme combinant la fiction surnaturelle et l'imaginaire récursif, bien que certains romans gaslight puissent être lus comme des imaginaires de l'histoire."[31] par exemple, l'auteur/artiste James Richardson-Brown[32] utilise le terme steamgoth pour désigner les expressions d'imaginaire et d'horreur à la vapeur, avec un penchant "plus foncé". [modifier] Télévision et film La série télévisée de 1965 The Wild Wild West, ainsi que le film de 1999, présentaient de nombreux éléments de la technologie avancée à vapeur mise en place dans la période Wild West des États-Unis. La série américaine Q.E.D. de 1982, installée dans l'Angleterre édouardienne, a fait de Sam Waterston le professeur Quentin Everett Deverill (le titre de la série est les initiales du personnage, ainsi que l'expression latine quod erat démonstration, qui se traduit par "qui devait être démontré"). Le professeur était un inventeur et un détective scientifique, dans le moule de Sherlock Holmes. Dans le spectacle, le personnage principal était connu principalement par ses initiales, Q.E.D. La scène finale du film de 1990 Retour vers le futur Partie III implique que le protagoniste Emmett Brown, après avoir été bloqué dans les années 1880 Californie, a réussi à adapter la technologie des années 1980 dans un contexte à vapeur, y compris le développement d'une machine à vapeur .. The Adventures of Brisco County, Jr., a Fox Network 1990s TV science-fiction-western set in the 1890s, a présenté des éléments de steampunk tel que représenté par le professeur Wickwire, dont les inventions ont été décrites comme "la chose à venir"[33] La courte émission de télévision de 1995 Legend on UPN, set in 1 876 Arizona, a présenté des inventions classiques comme un "quadrovelocipede" à vapeur et des lunettes à vision nocturne, et a étoilé John de Lancie comme une Nicola Tesla à peine déguisée. La série de romans graphiques The League of Extraordinaire Gentlemen (et l'adaptation du film de 2003 qui a suivi) d'Alan Moore et de Kevin O'Neill en 1999 a grandement popularisé le genre steampunk[34]. La série Syfy Warehouse 13 présente de nombreux objets et artefacts d'inspiration steampunk, y compris des conceptions informatiques créées par Richard Nagy, artisan steampunk, alias "Datamancer"[35]. De plus, la mini-série Syfy Tin Man incorpore une quantité considérable de thèmes inspirés du steampunk dans une ré-imagination de L. Frank Baum's The Wonderful Wizard of Oz. La série de la BBC Doctor Who incorpore également des éléments steampunk dans la conception de la machine à remonter le temps du Docteur, [citation nécessaire] le TARDIS, présenté pour la première fois dans la coproduction américaine de 1996 lorsque l'intérieur de TARDIS a été repensé pour ressembler à une bibliothèque presque victorienne avec la console centrale de contrôle composée d'objets éclectiques et anachroniques. Modifiée et rationalisée pour la reprise de la série en 2005, la console TARDIS continue d'incorporer des éléments steampunk, dont une machine à écrire victorienne et un gramophone. Steampunk a commencé à attirer l'attention de sources plus "traditionnelles". Par exemple, l'épisode de la série télévisée Castle intitulé "Punked", qui a été diffusé le 11 octobre 2010, a mis en vedette la sous-culture steampunk et a utilisé les steampunks de la région de Los Angeles comme extras[36] Aussi les vidéos musicales de David Guetta 'Turn Me On' et Panic at the Disco's Ballad of Mona Lisa' fortement inspiré des inspirations steampunk. La série de détectives Murdoch Mysteries du 19ème siècle incorpore occasionnellement des éléments de steampunk. Dans l'épisode de 2012 Who Killed the Electric Carriage ?, par exemple, un inventeur développe une voiture électrique qui fonctionne avec des batteries NiCd chargées par des cellules solaires, pour que Henry Ford et Standard Oil achètent sa société et brevettent et tuent le projet. Dans de nombreux épisodes, Murdoch lui-même envisage ou invente des dispositifs futuristes utilisant des matériaux contemporains. Art, mode et design Tim Wetherell's Clockwork Universe sculpture à Questacon, Canberra, Australie (24 septembre 2009) Beaucoup des visualisations de steampunk ont leurs origines, entre autres, avec Walt's 20 000 Leagues Under the Sea[37], y compris la conception du sous-marin de l'histoire le Nautel. tilus, ses intérieurs et l'équipement sous-marin de l'équipage ; et le film de George Pal de 1960 The Time Machine, avec la conception de la machine à remonter le temps elle-même. Ce thème est également porté à ses parcs à thème dans la conception de la section Mysterious Island du parc à thème Tokyo DisneySea. Le design Steampunk met l'accent sur l'équilibre entre la forme et la fonction[38]. Comme le Mouvement des Arts et de l'Artisanat, cela brouille la ligne entre l'outil et la décoration. Divers objets utilitaires modernes ont été modifiés par des passionnés dans un style "steampunk" mécanique pseudo-victorien.[7][39] Les exemples d'objets incluent des claviers d'ordinateur et des guitares électriques.[40] L'objectif de ces reconceptions est d'employer des matériaux appropriés (tels que le laiton poli, le fer, le bois et le cuir) avec des éléments de conception et de fabrication conformes à l'époque victorienne[11][41] rejetant l'esthétique du design industriel[38]. Le groupe d'artistes Kinetic Steam Works[42] a apporté un moteur à vapeur fonctionnel au festival Burning Man en 2006 et 2007[43]. Le membre fondateur du groupe, Sean Orlando, a créé une Steampunk Tree House (en association avec un groupe de personnes qui formeraient plus tard le Five Ton Crane Arts Group[44]) qui a été présentée à plusieurs festivals[45][46] La Steampunk Tree House est maintenant installée en permanence à la Dogfish Head Brewery à Milton, au Delaware[47][4]. [49][50] En mai-juin 2008, l'artiste et sculpteur multimédia Paul St George a exposé des installations vidéo interactives extérieures reliant Londres et Brooklyn, New York, dans un télectro de style victorien. Evelyn Kriete, promoteur new-yorkais, a organisé une vague transatlantique entre les amateurs de steampunk des deux villes[51]. [52] L'installation de Paul St George's Télectroscope à l'hôtel de ville de Londres (24 mai 2008) En 2009, l'artiste Tim Wetherell a créé une grande pièce murale pour Questacon représentant le concept de l'univers de l'horlogerie. Cette oeuvre en acier contient des engrenages mobiles, une horloge de travail et un film du terminateur de la lune en action. Le film de lune en 3D a été créé par Antony Williams. D'octobre 2009 à février 2010, le Museum of the History of Science d'Oxford a accueilli la première grande exposition d'objets d'art steampunk, organisée et développée par l'artiste et designer new-yorkais Art Donovan, qui a également exposé ses propres sculptures d'éclairage "électro-futuriste" et présentée par le Dr Jim Bennett, directeur du musée[5353]. De la refonte des objets pratiques à la mise en scène de modèles fantastiques, cette exposition présente le travail de dix-huit artistes steampunk du monde entier. L'exposition s'est avérée la plus réussie et la plus fréquentée de l'histoire du musée et a attiré plus de quatre-vingt mille visiteurs. L'événement a été détaillé dans le journal officiel de l'artiste, "L'Art du Steampunk" par le conservateur Donovan.[54] Métro de Paris "Arts et Métiers" La sculpture Spider de Daniel Proulx 2012 a vu le début de l'exposition Mobilis in Mobili : Une exposition d'art Steampunk et Appliance. Située à l'origine à Wooster Street Social Club de New York (elle-même le sujet de la série télévisée NY Ink), l'exposition présentait des systèmes de tatouage à vapeur conçus respectivement par Bruce Rosenbaum de ModVic et propriétaire de Steampunk House[55] Joey "Dr Grymm" Marsocci., et Christopher Conte montrant des approches très différentes. "bicyclettes, téléphones cellulaires, guitares, garde-temps et systèmes de divertissement ont complété l'affichage. Musique La musique Steampunk est très largement définie, comme Caroline Sullivan le dit dans The Guardian : "Les débats sur Internet font rage sur ce qui constitue exactement le son steampunk."[50] Cette gamme de styles musicaux steampunk peut être entendue dans l'oeuvre de divers artistes steampunk, de la danse industrielle/musique du monde d'Abney Park, [57]le folk rock de Steam Powered Giraffe, le forward Punk of The Men That Will Not Be Blamed For Nothing[58][59] les créations inventeur/compositeur-interprète de Thomas Truax ou du "scientifique fou" de la renommée des années 1980, Thomas Dolby[50][60] la musique influencée par le carnatique de Sunday Driver[61] l'"opéra industriel de hip-hop" de Doctor Steel,[62][63] les bruits de roche foncée et progressifs de Vernian Process,[64][65] the Unextraordinaire Gentlemen,[66] les sons électroniques de The Wet-Glass RO,[67][68] Le grand groupe de 18 pièces de Darcy James Argue Secret Society et la narration musicale d'Escape ouds L'octet "Steampunk" du compositeur britannique américain David Bruce en 2010 a été commandé par Carnegie Hall.[70][71] Steampunk est également apparu dans l'oeuvre de musiciens qui ne s'identifient pas spécifiquement comme steampunk. Par exemple, la vidéo musicale de Turn Me On par David Guetta mettant en vedette Nicki Minaj se déroule dans un univers steampunk où Guetta crée des droïdes humains. Culture et communauté En raison de la popularité du steampunk, il y a un mouvement croissant vers l'établissement du steampunk comme culture et mode de vie[72]. Certains fans du genre adoptent une esthétique steampunk à travers la mode,[73] décoration maison, musique et film. Cela peut être décrit comme du néo-victorianisme, qui est l'amalgame de principes esthétiques victoriens avec des sensibilités et des technologies modernes[6]. Certains ont proposé une philosophie steampunk, parfois inspirée par des sentiments anti-establishment inspirés par les punks, et généralement soutenue par l'optimisme sur le potentiel humain[74]. L'auteur G. D. Falksen, portant une prothèse de bras de style steampunk (créée par Thomas Willeford), illustre une prise de la mode steampunk. La mode Steampunk n'a pas de directives précises, mais a tendance à synthétiser les styles modernes influencés par l'ère victorienne. Il peut s'agir de robes, de corsets, de jupons et d'agitation, de costumes avec gilets, de manteaux, de chapeaux supérieurs[75] et de naissains, ou de vêtements d'inspiration militaire. Les tenues d'inspiration Steampunk sont généralement agrémentées de plusieurs accessoires technologiques et d'époque : garde-temps, parasols, lunettes de conduite et lunettes. Des accessoires modernes comme des téléphones cellulaires ou des lecteurs de musique se trouvent dans des tenues steampunk, après avoir été modifiés pour leur donner l'apparence d'objets fabriqués au style victorien. Les aspects de la mode steampunk ont été anticipés par la haute mode traditionnelle, la mode Lolita et les styles aristocrates, le néo-victorianisme, et la sous-culture goth romantique. Entre 2009 et 2011, Steampunk est devenu un descripteur commun pour les objets faits maison du réseau artisanal Etsy, [citation nécessaire], bien que beaucoup d'objets et de modes ne ressemblent guère aux descriptions de steampunk établies précédemment. Ainsi, le réseau d'embarcations ne peut pas frapper les observateurs comme "suffisamment steampunk" pour justifier la description. La comédienne April Winchell, auteur du livre Regretsy : Where do-it-yourself meet WTF, présente quelques exemples parmi les plus flagrants et les plus humoristiques sur son site, "Regretsy."[76] Le blog est populaire chez les steampunks et a même inspiré un clip qui est devenu viral dans la communauté et a été acclamé par les notables steampunk.[77] 206 a vu le premier SalonCon", une convention néo-victorienne/steampunk. Il a dirigé pendant trois années consécutives des artistes, des musiciens (Voltaire et Abney Park), des auteurs (Catherynne M. Valente, Ekaterina Sedia, et G. D. Falksen), des salons animés par des personnalités de leurs champs respectifs, des ateliers et des panneaux sur le steampunk, ainsi qu'une séance, des cours de danse de salon et la Parade des Chrononauts. L'événement a été couvert par MTV[78] et le New York Times[6]. Depuis lors, un certain nombre de conventions populaires de steampunk ont surgi dans le monde entier, avec des noms comme Steamcon (Seattle, WA), la Steampunk World's Fair (Piscataway, NJ) et la World Steam Expo (Dearborn, MI)[79]. Steampunk est également devenu une caractéristique régulière à San Diego Comic-Con International ces dernières années, avec le samedi de l'événement de quatre jours généralement connu parmi les steampunks comme "Steampunk Day", et culminant avec une séance photo pour la presse locale[80][81] En 2010, ceci a été enregistré dans le livre Guinness des records du monde comme le plus grand steak du monde séance photo ampunk.[82] Le samedi steampunk "after-party" est également devenu un événement majeur du calendrier social steampunk ; en 2010, les têtes de la une comprenaient le Slow Poisoner, Unextraordinaire Gentlemen et Voltaire, avec Véronique Chevalier comme Maîtresse de Cérémonies et apparition spéciale de la Ligue de STEAM[83][84] et en 2011 XG revient avec Abney Park.[85] Le Steampunk a également un nombre croissant de partisans au Royaume-Uni et en Europe. Le plus grand événement européen est "Weekend at the Asylum", qui se tient à The Lawn, à Lincoln, en septembre 2009. Organisé par la Victorian Steampunk Society à titre d'événement à but non lucratif, l'Asylum est un événement dédié à la vapeur qui prend le contrôle d'une grande partie du quartier historique de Lincoln, en Angleterre, avec le château de Lincoln. En 2011, plus de 1000 steampunks étaient présents. L'événement présente l'Empire Ball, Majors Review, Bazaar Eclectica et la finale internationale Tea Dueling